Les Triomphes de l'Amour avec les Paladins
Forumopera.com - 05/03/2020 - Tancrède Lahary
"Indéniablement, la star de la soirée n’est autre qu’Amel Brahim-Djelloul. Habituée du genre, celle-ci navigue avec aisance entre les airs, les registres et les émotions. Sa diction parfaite lui permet de proposer une performance très théâtrale, passant de l’imploration (« Ah! Phaéton, est-il possible… ») au désespoir et à la vengeance (« Le perde Renaud me fuit ») avec le même talent. Ses aigus nous arracheraient des larmes quand ils sont pianissimi (surtout dans « Renaud ! ciel ! ô mortelle peine ! ») ; son medium ainsi que ses graves sont irréprochables. Son charisme et la puissance de sa voix, dotée d’un volume généreux, achèvent de rappeler qu'elle est l’une des meilleures cantatrices baroques de sa génération. Quelle Didon doit-elle être !"
Ôlyrix - 06/03/2020 - Emmanuel Deroeux
"Pour chanter l’amour, la charmante soprano , familière de ce grand édifice religieux et acoustique, montre immédiatement une maîtrise de la projection et de la résonance de sa voix, ce qui permet de savourer ses moindres paroles. Son timbre tendre et clair, particulièrement lumineux même dans les aigus, gagne encore en intensité par ses regards et sa gestuelle investie. Parmi toutes ses interventions, la soprano se montre extrêmement convaincue et touchante lors de l’air de Théone « Ah, ! est-il possible/ Que ... sensible / Pour une autre que moi » ( – Acte III, scène 1)."
Larevueduspectacle.fr - 10/03/2020 - Christine Ducq
"Amel Brahim-Djelloul, maîtresse de cet art difficile, consistant à modeler le chant sur la parole, est décidément une artiste qu'il est délectable de suivre à chacun de ses concerts."
festival bach en combrailles
ResMusica - 12/08/19 - Marie Bertrande Flous
«C’est sur les épaules d’Amel Brahim-Djelloul que repose donc la structure de ce concert, les cinq airs de cantates alternant avec régularité avec les pièces instrumentales. Son soprano brillant a besoin d’un certain moment lors de sa première intervention pour finalement se développer à loisir. La chanteuse fait preuve d’une diction exemplaire, d’une élégance palpable et d’une projection agréable que l’acoustique du gymnase ne dessert aucunement. [...] Son timbre coloré est clairement pourvu d’expressivité, soutenu par une sincérité évidente qui ne peut que favoriser la connivence.»
Amadigi
Resmusica.com - 29/01/2019 - AMADIGI PAR LES PALADINS, BEL ÉCRIN POUR CHANTEUSES AUTONOMES - Jean-Luc Clairet
«Amel Brahim-Djelloul, très à l’aise scéniquement en Oriana, laisse à loisir s’épanouir le fruit d’aigus magnifiques et la fraîcheur d’une carnation qui est un raffinement de tendresse.»
Concertclassic.com - 25/01/2019 - Amadigi de Haendel au Théâtre de l’Athénée – Modeste mais efficace – Compte-rendu - Vincent Borel
«Elle offrait l’occasion de réentendre la soprano Amel Brahim-Djelloul, ces derniers temps bien trop éloignée des scènes. Celle qui fut, il y a douze ans déjà, une Suzanne virevoltante dans les Nozze montées à Nantes et Angers, possède toujours ce timbre d’argent et ce souffle admirable. Le personnage d’Oriana a, sous la plume de Haendel, des accents qui sont déjà ceux de Morgana, entre langueur et désarroi. Amel Brahim-Djelloul dispose des notes basses nécessaire au tragique de S’estinto e l’idol mio, sommet émotionnel de la partition. Dotée en outre d’un aigu solaire, on se prendrait à rêver d’Alcina pour Amel Brahim- Djelloul.»
Forumopéra.com - 13/01/2019 - Vivement la version de concert ? - Laurent Bury
«Amel Brahim-Djelloul est une superbe Oriane, fort émouvante dans son jeu et d’une élégance déjà mozartienne dans son chant : encore une artiste qu’on aimerait entendre plus souvent.»
L'Orgue du Sultan
Classicagenda - 20/10/2017 - Julien Bordas
«la soprano Amel Brahim-Djelloul semble tout à fait à l’aise. Son lyrisme naturel évoque parfois une lamentation, verse dans une certaine tristesse, ou nous entraîne dans l’ivresse d’une mélodie entêtante.»
L'Orgue du Sultan
LaRevueduSpectacle.fr - 31/07/2017 - Christine Ducq
«Un mariage que vérifie la cohésion des artistes très complices sur scène. La superbe soprano Amel Brahim-Djelloul, incarnation de la Muse, triomphe avec art en incarnant idéalement cette rencontre. Elle passe sans aucune peine les deux rives du chant tant européen qu'ottoman. Un voyage passionnant, voire extatique pour l'auditeur tant cette soirée transporte. On ne peut que trouver géniale cette proposition dans notre contexte d'intolérance et de peur de l'autre.»
Requiem
RTBF.be - 24/04/2017 - Christian Jade
«Avec la soprano franco-algérienne Amel Brahim-Djelloul, voix parfaite pour cette synthèse Orient/Occident.»
L'orgue du Sultan
BaroquiadeS - 11/04/2017 - Jean-Stéphane Sourd Durand
«Si la rencontre multiculturelle s’établit avec les premières notes interprétées par l’ensemble Sultan Veled, la voix de la soprano franco-algérienne Amel Brahim-Djell oul nous plonge en plein coeur du souk d’Alger. Elle entonne l’air Ey Ṣeh-i melek Cefâ u cevr ile inletme beni – Oh le plus grand des anges, ne me fait pas gémir par le tourment et l’oppression. La voix se pare de teintes chaudes, de couleurs orientales. Nous sentons le délicat parfum des épices nous enivrer. Le timbre est soyeux. La soprano confère aux notes harmoniques ainsi émises une gamme d’accents subtils.»
Les 1001 Lunes de la Princesse Boudour
Sud Horizons- 27/01/2017 - Amel Brahim Djelloul raconte les Mille et une nuits - Rym Harhoura
«Amel Brahim Djelloul a entrainé le public de l’Opéra Boualem Bessaih d’Alger dans un « tourbillon » artistique mercredi 25 janvier au soir [...] L'interprétation magistrale de cette composition lyrique a suscité, à chaque reprise des standings ovations. [...] Amel Brahim Djelloul a transmis son émotion, un message. Elle a travaillé en profondeur sur la technique, les paroles, les nuances, l’interprétation et la transmission. Vive et pétillante, la chanteuse a illuminé la scène dans la plus élégante des musiques.»
Le 11ème festival de musique andalouse
Algérie Presse service - 21/12/2016 - Le 11e Festival de musique andalouse et des musiques anciennes s'ouvre à Alger
«En troisième partie de cette soirée, la cantatrice Amel Brahim Djelloul, a puisé dans le répertoire musical universel et algérien dont "Ay al xir inu" (A mon grand bonheur), un tube du chanteur et compositeur Idir. »
Elmoujahid.com - 22/12/2016 - Musique andalouse et musiques anciennes : Coup de starter dans un opéra archicomble - Kader Bentounès
«Le coup de coeur de l'ouverture du onzième festival en Algérie a été le public record qui a rempli l'immense salle de l’opéra d'Alger et fait preuve d'une grande connaissance de cette musique citadine savante. Deux voix féminines prometteuses de la jeune génération ont gratifié le nombreux public de l'opéra d'Alger pour cette soirée inaugurale. Il s'agit de Meriem Benallal et d'Amel Brahim Djelloul. »
LES 1001 LUNES DE LA PRINCESSE BOUDOUR
Midi Libre - 23/07/2016 - Michele Fizaine
«Amel Brahim-Djelloul, soprano magnifique, est une passeuse de musique exceptionnelle dans les mélodies inconnues de Daniel et Hüe, incarnant cette fascination romantique pour l'Orient [...]. La figure féminine domine, par sa présence et son intelligence. Traditions d'Orient... Mais on n'oublie pas Saint-Saëns et Le Bédouin légendaire de Félicien David. Un bonheur à écouter, dans la magie de ces rencontres!»
Forum Opéra - 19/07/2016 - Les Mille et une nuits d'Amel Brahim-Djelloul à Montpellier - Yvan Beuvard
«Accompagnée par Nicolas Jouve, avec Jihad Darwiche comme truchement, toujours gourmande de répertoires à partager, la jeune et séduisante chanteuse nous propose des Contes amoureux du Maghreb à l’Orient. [...] La voix est chaude, colorée, sensuelle, expressive. Tout autant que du chant, Amel Brahim-Djelloul est gourmande des mots dont elle se délecte. De L’Invitation au voyage elle nous propose une remarquable lecture : Les aigus sont superbement amenés, la progression de la seconde strophe force l’admiration.»
Musicologie.org - 19/07/2016 - Eusebius
«Amel Brahim-Djelloul est maintenant reconnue comme une des grandes voix de sa génération. Au confluent des cultures, sa voix chaude sert avec bonheur un large répertoire lyrique (du baroque à Debussy), la mélodie française et le chant traditionnel du Maghreb et du Moyen-Orient. [...] La curiosité insatiable de Amel Brahim-Djelloul, son intelligence musicale servie par des qualités vocales rares2 ont pleinement séduit le public du Festival, mais aussi les auditeurs de France Musique [...]»
La princesse de Trébizonde
Opéra Magazine – Février 2016 – Jacques Bonnaure
«La soprano Amel Brahim-Djelloul est une Zanetta merveilleuse de naturel, de cette drôlerie gentille et pas mièvre qui signe bien des héroïnes d'Offenbach. Son premier air est écrit un peu bas pour sa voix, qui peine à passer la rampe, mais elle s'épanouit ensuite, en particulier dans la "ronde de la princesse", à la fin du II, extraordinaire moment de surréalisme musical.»
Récital Amel Brahim-Djelloul
Anaclase – 2016 – François Cavaillès
«Amel Brahim-Djelloul poursuit une belle carrière originale d'artiste moderne, en vraie touche-à-tout lyrique. Plutôt sur les scènes baroques dernièrement – encore qu'elle attaque l'année 2016 par l’opérette –, le soprano franco-algérien présente avec le pianiste Nicolas Jouve un pot-pourri charmant et intègre de courtes mélodies populaires, qui fut enregistré en avril 2014 dans sa région lyonnaise grâce à un financement participatif, pour être distribué au printemps dernier par le label bourguignon Eloquentia.»
Traverser
L'orient-Le Jour - 12/10/2015 - Zeina Saleh Kayali
«Soudain, une plainte poignante s'élève, déchirant les airs. C'est celle de la soprano Amel Brahim Djelloul qui, d'une voix cristalline, invoque, implore et supplie, accompagnée au oud par Youssef Zayed et au violon par Rachid Brahim Djelloul.»
DVD - Les Indes Galantes
Classica - Février 2016 - Philippe Venturini
«L'équipe réunie se montre homogène malgré un choeur fragile. S'y distingue cependant les interprétations sensibles et voluptueuses d'Amel Brahim-Djelloul, de Thomas DOLIÉ et Anders DAHLIN.»
Opéra Magazine - Octobre 2015 - Michel Parouty
«Chacun est parfaitement stylé. Amel Brahim-Djelloul est délicieuse, comme toujours.»
Diapason - Novembre 2015 - Jean-Philippe Grosperrin
«L'équipe est dominée par la sensualité exacte d'Amel Brahim Djelloul et de Thomas Dolié.»
Concert de clotûre
APS - 20/09/2015
«L'Algérienne Amel Brahim-Djelloul, soprane à la voix limpide et à la tessiture étendue, assurant la première partie du programme, a interprété des extraits d'opéras emportant l'assistance dans un voyage voluptueux, sur un tour de chant époustouflant de technique, de précision et de puissance. [...] Amel Brahim-Djelloul [...] a transcendé le temps de la cérémonie pour atteindre la dimension du rêve dans une belle randonnée onirique et devant un public littéralement conquis.»
Choufchouf.com - 25/09/2015
«La soprano Amel Brahim Djelloul a, comme à son habitude, enchanté le public lors de la soirée de clôture de la 7ème édition du festival culturel de musique symphonique d'Alger. [...] Unanimement reconnue comme l'une des personnalités musicales les plus talentueuses de sa génération, Amel Brahim Djelloul est particulièrement appréciée pour la qualité de sa voix et la couleur riche de son timbre.»
Reporters.dz - Djamel Boudaa - 20/09/2015
«Ayant une grande présence sur scène, Amel Brahim Djelloul, (a été) très applaudie par le public. [...] Cette chanteuse lyrique (est) reconnue comme une personnalité musicale d'exception, appréciée pour la beauté de sa voix et la facilité avec laquelle elle interprète les plus beaux et les plus difficiles chants de l'opéra classique.»
Zaïs
Opéra Magazine - Septembre 2015 - Michel Parouty
«Amel Brahim-Djelloul et Hasnaa Bennani retrouvent l'une la Grande Prêtresse, l'autre l'Amour : la même grâce, la même séduction.»
L'amour des trois oranges
Opéra magazine N° 76 – Christian Wasselin
« […]La bonne surprise vient d'Amel Brahim-Djelloul, idéale de légèreté dans les brèves mais déterminantes réparties de Ninette, et de la Cuisinière[…] »
Populaires
Agence algérienne pour le développement culturel - 04/06/2015 - Feriel Boukachabia
«Reconnue comme une personnalité musicale d’exception, appréciée pour la couleur riche et ensoleillée de sa voix, la soprano Amel Brahim-Djelloul est présente sur de nombreuses scènes en France et à l’étranger : en particulier, l’Opéra de Paris, le Wigmore Hall de Londres ou encore le Kennedy Center de Washington.
Aux confins des cultures orientale et européenne, elle est aussi à l’aise avec le répertoire d’opéra sur les plus grandes scènes lyriques européennes qu’avec les chants traditionnels arabo andaloux. Pour ce récital, elle propose une introduction à la musique classique d’airs fameux « harmonisés » par de très grands compositeurs.
De son timbre lumineux et fruité, Amel Brahim-Djelloul offre un moment de grâce et de plaisir accompagné par Nicolas Jouve au piano. »
APS - 10/06/2015 - Rachid Bouarroudj
« Un programme prolifique judicieusement choisi, à travers lequel s'est installé un vrai dialogue entre les cultures méditerranéennes, dans des tonalités occidentales, andalouses, hispaniques, kabyles et orientales. [...] Chantant l'amour, la mélancolie, la nature, la romance, l'innocence ou encore la vie quotidienne dans sa simplicité, la cantatrice, au bien-être apparent, a interprété les différentes pièces de son programme avec un plaisir et une joie visibles. "Quel public merveilleux. Mon plaisir est immense de me retrouver dans ce beau théâtre et chanter pour vous", a déclaré Amel Brahim-Djelloul, s'adressant à l'assistance. S'appuyant sur le soutien du pianiste Nicolas Jouve au jeu en sourdine bien maîtrisé qui laissait s'échapper de belles lignes mélodiques aux sonorités apaisantes, la cantatrice a permis le voyage, dans une belle randonnée onirique, faisant montre de toute sa tessiture vocale dans une parfaite aisance d'interprétation. [...] Le public nombreux du TNA s'est volontiers laissé emporter dans les méandres du génie créatif des grands compositeurs et la virtuosité des interprètes, savourant chaque instant du récital dans l'allégresse. [...] L'Algérie a désormais sa cantatrice en la personne d'Amel Brahim-Djelloul, une chanteuse d'opéra qui fait la fierté de son pays, elle me fait rappeler la grande Taos Marguerite Amrouche", a déclaré une femme approchée à l'issue du récital. [...] Très applaudie à la fin du récital, la chanteuse à la voix présente a interprété Zahra et Arced, Arced Ayidhess (Viens, viens ô sommeil), une berceuse kabyle, après un rappel insistant du public.»
L'Est Républicain - 11/06/2015
«La douceur des belles mélodies s'est combinée aux prouesses vocales et à l'agilité du doigté. [...] Préludant chaque pièce par la lecture d'un petit texte qu'elle a elle-même traduit, Amel Brahim-Djelloul, chanteuse d'opéra à la voix nue (sans amplification aucune), a orné le silence religieux qui régnait dans la salle avec une voix puissante, pleine de pureté et de [...] S'appuyant sur le soutien du pianiste Nicolas Jouve au jeu en sourdine bien maîtrisé qui laissait s'échapper de belles lignes mélodiques aux sonorités apaisantes, la cantatrice a permis le voyage, dans une belle randonnée onirique, faisant montre de toute sa tessiture vocale dans une parfaite aisance d’interprétation. Le public nombreux du TNA s'est volontiers laissé emporter dans les méandres du génie créatif des grands compositeurs et la virtuosité des interprètes, savourant chaque instant du récital dans l'allégresse. »
CD - Populaires
Planet Hugill - 09/07/2015 - Performance of real charm, and an imaginative programme - Robert Hugill
«Nicolas Jouve and Amel Brahim-Djelloul have put a together a fascintaing exploration of art songs based on folk-texts with an intriguing mix of well known and lesser known. [...]
Amel Brahim-Djelloul has a vibrantly attractive lyric soprano voice and the nearest in style which I came up with was Victoria de los Angeles. Amel Brahim-Djelloul has a vivid timbre, made lively by a lovely (well controlled) vibrato and a constant sense of colour and involvement. She is clearly not phased by languages. [...] Amel Brahim-Djelloul and Nicolas Jouve manage that awkard junction between naive charm and art song, and Amel Brahim-Djelloul sings in highly creditable English. These songs have great imagination and I wish we could hear them more often. [...] Amel Brahim-Djelloul is beautiful lyrical and characterful bu turns, creating a vivid pen-portrait in each little song. [...] With Nicolas Jouve at the piano, you certainly do not miss the greater amplitude of the orchestral accompaniments, and these make a satisfying grouping indeed. [...]
I have to confess that I enjoyed this disc from end to end, its combination of charming performances by vividly characterful performers in an imaginative programme. Highly recommended indeed.»
Forum Opera - 12/06/2015 - Laurent Bury
«L'an dernier, Forum Opéra s'était fait le relai de l'appel de fonds lancés par Amel Brahim-Djelloul pour mener à bien l'enregistrement de son nouveau disque. Grâce au succès de cette opération de crowd-funding, la soprano franco-algérienne a pu échapper au sort des "bolosses", ainsi que les adolescents appellent aujourd'hui ces ringards que l'on fuit et confirme qu'elle fait bien partie du camp des "populaires", de ceux qu'on admire et à qui tout réussit. [...]
Faute de pouvoir se prononcer sur la qualité de chacun des idiomes ici pratiqués, on se contentera de souligner la savoureuse gourmandise avec laquelle Amel Brahim-Djelloul dit le français : les Ravel sont délicieusement phrasés, et avec surtout ce sourire dans la voix qui fait tout le prix des pièces les plus enjouées du recueil. [...] Le disque nous permet de ne rien perdre des intentions de la chanteuse, brillamment soutenue par le pianiste Nicolas Jouve. Un timbre frais et fruité, quelques très belles découvertes... la popularité d'Amel Brahim-Djelloul devrait se confirmer sans peine.»
Diapason n°637 - Juillet-août 2015 - François Laurent
«Amel Brahim Djelloul navigue, en plein soleil, de Monteverdi à Rameau, de Mozart à Messager (Véronique, au Châtelet), mais garde toujours un oeil sur ses racines. La soprano algéroise retrouve ici le pourtour méditerranéen qu'elle célébrait dans ses deux récitals précédents. Après l'Orient des "Mille et une nuits" rêvé par Szymanowski, Aubert, Santoliquido et Delace (AmeSon, 2006), puis une incursion dans la musique traditionnelle arabo-andalouse, elle nous tend un bouquet de mélodies "populaires" où les pays latins et la curiosité ont la part belle. Certains compositeurs (Brahms, Canteloube et le méconnu Guridi) se contentent d'arpenter leur terroir pour y dénicher des pépites quand d'autres scrutent des horizons plus lointains. Hahn se promène en gondole à Venise, Respighi s'encanaille dans une taverne d'Ecosse, Ravel chante la campagne grecque et ses cueilleuses de lentisques, Collet (le musicographe qui baptisa le "Groupe des Six") La Castille et ses danses.
La chaleur du timbre, le chant souple d'Amel Brahim Djelloul, appariés au piano généreux de Nicolas Jouve, illuminent tout le programme. On aimerait parfois un soupçon de mélancolie (Barcheta - où Souzay nous hypnotise), ailleurs une larme d'amertume (In stiller Nacht), voire des accents plus franchement terriens (The Piper of Dundee, Bolero). Et dès que la demoiselle conte fleurette, on fond. Ah ! ce rien de timidité dans Postouro sé tu m'aymo, ce large et franc sourire qui vous fait bondir le coeur dans Le Réveil de la mariée et Quel galant m'est comparable...
Délices d'un charme sans artifice.»
Opéra Magazine - Juin 2015 - Laurent Barthel
«Les bizzareries de l'emballage, voire un programme hétéroclite, du moins à première vue, peuvent agacer. Et pourtant, cet album de la soprano franco-algérienne Amel Brahim-Djelloul, gravé en studio, en avril 2014, n'est pas un banal récital "carte de visite" de plus. Il correspond à un vrai projet esthétique, mûri sur plusieurs années.
Quant aux fantaisies photographiques du livret, elles s'amusent surtout à détourner le glamour souvent cultivé en pareil cas : délires haute couture pour la diva, qui prend des poses, escortée de son accompagnateur, lui-même déguisé en chauffeur de maître tiré à quatre épingles... Mais c'est d'une petite 2 CV rigolote que descend ce beau monde, devant un tapis rouge façon montée des marches à Cannes. Bien vu !
Populaires : le titre est inattendu, mais caractérise bien l'ensemble de ces pièces, qui tirent toutes leurs racines d'un folklore sublimé. Cela dit, ces lieder et mélodies restent aussi élitaires, dans la mesure où ils tolèrent très mal des approchent négligentes ou inutilement accrocheuses. Et là, créditons Amel Brahim-Djelloul de ne jamais en rajouter, d'en rester toujours à un subtil jeu d'esquive entre pudeur sensible et investissement minutieux du détail, tactique qui, finalement, s'avère gagnante sur toute la ligne.
On apprécie la perfection du français des Mélodies populaires grecques de Ravel, mais aussi l'anglais d'un académisme très insulaire des Quattro arie scozzesi de Respighi, ou l'italien lumineux de Venezia de Reynaldo Hahn : surprises et décalages là encore, pour ces pièces où, chaque fois, le compositeur s'échappe hors de son champ culturel habituel.
Ajoutons-y de délicieux Volksleider de Brahms, quelques Canteloube sans chichis, les splendides Canciones castellanas de Guridi, voire les terres quasi inconnues d'Henri Collet, musicien certes français, mais féru d'hispanisme au point d'écrire de brèves pièces chantées que l'on attribuerait volontiers à Granados ou Falla.
Ajoutons encore les phrasés enveloppants d'un accompagnement pianistique aux couleurs variées, et une très belle qualité de prise de son... Un récital au charme entêtant !»
El Watan - 13/06/2015 - "Quand même, j'en ai fait du chemin !" - Walid Bouchakour
«Amel Brahim Djelloul était à Alger, sur l'invitation de l'AARC, le 9 juin dernier, pour un récital avec le pianiste Nicolas Jouve. Nous l'avons rencontrée avant son concert au Théâtre national algérien Mahieddine Bachtarzi où elle a fait salle comble devant un public ravi par son talent.»
The Good Life - Juillet 2015 - Frédéric Hutman
«Le son méditerranéen sait se conjuguer aussi bien au passé qu'au présent. La preuve avec cette sélection d'albums qui nous ont particulièrement touchés. […] La soprano Amel Brahim Djelloul nous offre, aux côtés du pianiste Nicolas Jouve, un beau panorama de mélodies inspirées de chansons populaires […] .
TGL : Comment est né ce projet ?
A.B.D. : Avec Nicolas Jouve, nous portons ce projet depuis longtemps. Nous voulions proposer la réinterprétation de mélodies populaires par des compositeurs d'inspiration savante. Le côté simple des mélodies s'étoffe par un accompagnement pianistique très travaillé, enrichi par des harmoniques incroyables. Nous voulions, dès le début, le faire en plusieurs langues. Et finalement, on en trouve cinq dans ce disque !»
Souvenir d'Al Andalus
mag'centre - 26 janvier 2015 - Gérard Poitou
« Accompagnée des instruments traditionnels, violon, mandoline et darbouka, Amel Brahim Djelloul pose sa voix étincelante pour nous conduire dans ce voyage lumineux sur les bords de la Méditerranée. »
Souvenir d'Al Andalus
L'Ecritoire - 28/11/2014 - GB
« Amel, une des sopranos les plus prestigieuses de sa génération qui, de sa voix chaleureuse, suave et charmeuse, a su captiver une salle toute acquise à sa cause. D'abord en poésies puis en chansons, elle a récité et chanté la méditerranée, l'Andalousie, mettant en éveil tous les sens des spectateurs, jusqu'au plus profond de leur être.»
L'INCORONAZIONE DI POPPEA
Opéra magazine – juillet août 2014 – Michel Parouty
« […]Le délicieux Amore d'Amel Brahim-Djelloul[…] »
Libération – 8 juin – «Poppée» recouronnée à Garnier - E.D.
« […]Mais Amel Brahim-Djelloul, et[…] sont fantastiques et, du découpage du drame par Bob Wilson à la projection du texte, la modernité de Monteverdi sidère plus que jamais.[…] »
Pariscope – juin 2014 – Hélène Kuttner
« […]ou Amel Brahim-Djelloul (Amour) sont irrésistibles de malice et de charme[…] »
Les Indes Galantes
The Guardian – 7/3/2014 - Tim Ashley
« […] Amel Brahim-Djelloul, wonderfully passionate as Hebe and imperious as the possessive sultana, Fatime […] »
London Evening Standard – 9/3/2014 - Barry Millington
« […] A fine sextet of soloists covered 17 roles between them. Particularly worthy of mention were Amel Brahim-Djelloul, Hélène Le Corre, Benoît Arnould and Thomas Dolie but all six touched the heart with singing of beauty and stylish assurance. […] »
Les Indes Galantes
The arts Desk.com - 2/3/2014 - David Nice
« […] Prelapsarian group hug: Amel Brahim-Djelloul and dancers in the Prologue of Les Indes galantes. […] »
Forum Opéra – 23/02/2014 - Amour, gloire et laideur - Laurent Bury
« […] Amel Brahim-Djelloul […] se révèle littéralement dans l’acte des Fleurs, où elle livre un admirable « Fra le pupille di vaghe belle », l’air italien que Richard Strauss cite dans Capriccio, et un très beau « Papillon inconstant ». […] »
Fortunio
Classique info – 19/11/2013 – Emmanuel Andrieu
« […] La lumineuse Amel Brahim-Djelloul – Véronique espiègle au Théâtre du Châtelet en 2008 – campe une magnifique Jacqueline, toute en demi-teintes, presque trop tendre pour évoquer le cynisme de son personnage. […] »
ODB Opéra – 14/11/2013 – Jérôme Pesqué
« […] Amel Brahim-Djelloul, Véronique au Châtelet, incarne parfaitement son rôle et déploie une belle intensité au dernier acte. Surtout, elle dépeint parfaitement l’évolution psychologique de Jacqueline, épouse sage qui s'étiole transformée par l’amour éperdu que lui voue le clerc de son mari. […] »
Le Populaire du Centre – 11/11/2013 – Jean-François Julien
« […] La Jacqueline d'Amel Brahim-Djelloul […] qui constituent les piliers sur lesquels s'appuient cet édifice vocal, sont à la fois solides et convaincants. Surtout dans la seconde partie où l'intensité dramaturgique est plus forte, plus passionnée […] »
DVD L'INCORONAZIONE DI POPPEA
« [...] Il est vrai que la distribution est formidable de style, de musicalité, de présence. Des personnages typés, qui s'imposent en quelques secondes : [...] Le couple Drusilla / Ottone met face à face Amel Brahim-Djelloul et Tim Mead, débordants de jeunesse et de sincérité [...] »
La Princesse de Trébizonde
« [...] Amel Brahim-Djelloul est [...] une Zanetta à la voix ravissante [...] »
Diapason – été 2013 – Michel Parouty
« [...] Equipe de charme avec Amel Brahim-Djelloul, délicieuse Zanetta [...] »
Forum Opéra – 28/05/2013 – Merveille de la Céroplastie – Fabrice Malkani
« [...] Marie Kalinine [...] et la soprano Amel Brahim-Djelloul, délicate Zanetta au timbre clair et à l'émission aérienne. Leurs duos, « Quand un papa part », ou bien « Ô Malvoisie » / « Ô vin de Grèce », séduisent par l'art de donner au texte volontairement ridicule une dimension lyrique proprement émouvante. [...] »
ODB Opéra – 28/05/2013 – Merveille de la Céroplastie – Gérard Ferrand
« [...] Amel Brahim-Djelloul est une exquise Zanetta : voix fruitée, belle ligne chant, tour à tour jeune fille innocente ou poupée de cire [...] »
Le Figaro – 28/05/2013 – Trois Opéras à la française – Christian Merlin
« [...] Chant élégant d'Amel Brahim-Djelloul [...] »
Resmusica – 27/05/2013 – La Princesse de Trébizonde, Poupée aux yeux d'émail – Catherine Scholler
« [...] Amel Brahim-Djelloul, Romie Estèves et Emiliano Gonzalez-Toro sont parfaits de grâce, de style et de diction en jeunes premiers. [...] »
Concertclassic – 21/05/2013 – Entre rire et magie – Alain Cochard
« [...] la fraîche Amel Brahim-Djelloul, irrésistible Zanetta [...] »
Classicnews – 20/05/2013 – Nicolas Grienenberger
« [...] la Zanetta toute en clarté naturelle d'Amel Brahim-Djelloul, aussi piquante que ravissante, gardant une part de mystère en Princesse mécanique, un dédoublement de personnalité ajoutant au charme de la jeune femme. [...] »
La Tribune – Le Progrès – 18/05/2013 – Un Carrousel de bonne humeur – Jean-Luc Perrot
« [...] Que ce soit Amel Brahim-Djelloul dans le rôle-titre [...] tous se révélaient au-delà de leurs mérites vocaux, d'excellents acteurs, voire équilibristes et danseurs. [...] »
CD Les Surprises de l'Amour - RAMEAU
Classica- Février 2014- Philippe Venturini
« […] les grâces de l'Adonis d'Amel Brahim-Djelloul les disputent à la Venus possessive de Karine Deshayes. Les deux chanteuses réunissent à nouveau leurs talents autour du Linus séducteur d'Anders Dahlin.[…] »
The Guardian - janvier 2014 - Tim Ashley
« [...]Virginie Pochon and Amel Brahim-Djelloul generate frissons galore as Venus and Adonis. [...] »
Opéra Magazine - décembre 2013 - Michel Parouty
« [...]une distribution stylée, entièrement française[...] Le trio de sopranos (Amel Brahim-Djelloul, Virginie Pochon, Caroline Mutel) possède autant de charme que de finesse musicale. [...] »
Concert Brumes
« [...] Pour l'irradiante présence de la soprano Amel Brahim-Djelloul, qui revisite les rares Chants d'Auvergne de Joseph Canteloube, qui mêlent, selon les termes de la chanteuse, la "simplicité du folklore français à un orchestre que l'on croirait tout droit sorti de l'univers des musiques de films". [...] »
L'Enfant et les Sortilèges
Artistikrezo.com - 30/01/2013 - Marie Torrès
« [...] L'ingénuité d'Amel Brahim-Djelloul charme en princesse découpée en deux morceaux. Cette trouvaille de mise en scène fonctionne à merveille[...] »
Anaclase.com - 29/01/2013 - DV
« [...]la scène de la Princesse à la recherche de sa moitié (flottante) de corps doit sa réussite à la finesse et la précision de la voix d'Amel Brahim-Djelloul.[...] »
ConcertoNet - 20/01/2013 - Didier van Moere
« [...] Heureusement, il reste la délicieuse Princesse d'Amel Brahim-Djelloul [...] »
Culture Box – 28/01/2013 - la soprano Amel Brahim-Djelloul à la conquête de l'Opéra Garnier – Linda Belhaoues
« [...] La jeune franco-algérienne interprète la princesse. Un moment de bonheur [...] »
Forum Opéra – 23/01/2013 – N'est-ce pas, c'est amusant ? – Laurent Bury
« [...] Amel Brahim-Djelloul donne une jolie leçon de style en princesse [...] »
Concert Algérie-France, symphonie pour 2012
« [...] S'installent devant l'orchestre la soprano Amel Brahim-Djelloul, Rachid Brahim-Djelloul à l'alto traditionnel (et au chant), et les autres membres de l'ensemble Amedyez (percussions, cordes). Et dès l'introduction à la harpe, qui soutient et orne la voix de Amel Brahim-Djelloul, c'est superbe, proche du sublime en maints moments. [...] Elle chante dans son arbre généalogique, et c'est magique. [...] »
Souvenirs d'Al Andalus
« [...] Si elle mène désormais une carrière lyrique internationale, la soprano Amel Brahim-Djelloul affectionne particulièrement le répertoire arabo-andalou et, plus largement, celui des musiques du Maghreb qui font partie de sa culture. Mardi soir, elle a imposé sa voix, chaude et sucrée toute de nuances et de séduction. Superbe dans ses vêtements traditionnels, la jeune femme a totalement séduit une salle archicomble du fond de laquelle montèrent à deux ou trois reprises quelques "youyous" bien poussés. Et bien mérités. "Youyous" de bonheur lancés aussi en direction d'un excellent ensemble musical à la tête duquel Rachid Brahim-Djelloul impose son violon tantôt lancinant, tantôt joyeux. [...] »
L'Amour des trois oranges
« [...] La bonne surprise vient d'Amel Brahim-Djelloul, idéale de légèreté dans les brèves mais déterminantes réparties de Ninette, et de la Cuisinière. [...] »
Alta Musica – 29/06/2012 – Des oranges toujours fraîches – Gérard Mannoni
« [...] En princesse Ninette, Amel Brahim-Djelloul révèle une fois encore touts les attraits d'une voix de nature très précieuse, limpide, fraîche, bien timbrée. Un régal ! [...] »
Forum Opéra – 25/06/2012 – Juteuses mais sans tache – Laurent Bury
« [...] Amel Brahim- Djelloul, grâcieuse Ninette[...] »
L'INCORONAZIONE DI POPPEA
« [...] Amel Brahim-Djelloul forme avec Tim Mead un couple d'une séduisante jeunesse[...] »
Classica – avril 2012 – Poppée et Octavie vampent le public de Lille – P.V.
« [...] On n'oubliera pas non plus la Drusilla frémissante et généreuse d'Amel Brahim-Djelloul [...] »
Res Musica – 4/04/2012 – Le Couronnement d'Astrée – Joelle Farenc
« [...] La distribution est homogène et de grande qualité. On admire les seconds rôles [...] on s'apitoie devant la voix fraîche de la naïve Drusilla. [...] »
Le Bien Public – 3/04/2012 – Isabelle Truchon
« [...] Quant à Ann Hallenberg (Octavie) et Amel Brahim-Djelloul (Drusilla), elles incarnent deux parfaites victimes. [...] »
Musicologie – 2/04/2012 – Impérial Couronnement de Poppée – Eusebius
« [...] Drusilla (Amel Brahim-Djelloul, émouvante) mérite[nt] tous nos suffrages.. [...] »
Forum Opéra – 27/03/2012 – La fureur de vivre – Bernard Schreuders
« [...] Drusilla, modèle de courage et de constance sublimé par l'ardente et pourtant si vulnérable Amel Brahim-Djelloul [...] »
La Voix du Nord – 14/03/2012 – une fresque sensuelle, ensorcelante et somptueuse – Jean-Marie Duhamel
« [...] La distribution ? De magnifiques personnalités et de belles osmoses [...] la touchante Drusilla (Amel Brahim-Djelloul) [...] »
Classique News – 13/03/2012 – Alexandre Pham
« [...] la belle Drusilla, sincère et amoureuse, prête à tout pour le servir (excellente Amel Brahim-Djelloul) [...] »
Concertonet – 12/03/2012 – Réjouissant et inventif – Sébastien Foucart
« [...] La palme de la délicatesse revient à Amel Brahim-Djelloul pour le rôle de Drusilla [...] »
La Vie Parisienne
« [...] sa prestation ubuesque en veuve noire d’un colonel, est l’une des incarnations les plus réussies [...] »
Concert Classic
Du côté de la comédie musicale – Michel Le Naour
« [...] La gantière Gabrielle d'Amel Brahim-Djelloul montre finesse et subtilité [...] »
Concertonet 11/12/2011 – Une Vie trépidante – Emmanuel Andrieu
« [...] Entièrement francophone, la distribution réunie à Nantes rend pleinement justice à la partition du «petit Mozart des Champs-Elysées". Outre le fait de posséder le physique de leur rôle, tous s'avèrent aussi bons acteurs que chanteurs. Avec une mention spéciale pour la délicieuse Gabrielle d’Amel Brahim-Djelloul, personnage auquel elle prête son timbre lumineux et fruité. La grâce de la silhouette et l'aisance de son jeu complètent un art de la caractérisation musicale de premier ordre [...] »
Portrait
Diapason – Septembre 2011 – La Relève
« [...] Sur la scène du Conservatoire, début 2002, a éclos la plus adorable des Pamina. [...] Comment ne pas succomber ? Dominique Meyer fait d'elle la mascotte des Champs-Elysées, René Jacobs lui trouve une place dans Poppée... Jusqu'au triomphe décisif en 2008 : le rôle-titre de Véronique au Châtelet — jeunesse, charme, classe, espièglerie, Messager à la perfection. [...] Mais l'opéra ne suffit pas. Mille et une nuits, mélopées arabo-andalouses... [...] »
La ClEMENZA DI TITO
« [...] Dans la modeste Servilia, Amel Brahim-Djelloul ravit par le fruité d'une voix menue mais charnue et le charme tout mozartien du phrasé – on penserait presque à la jeune Popp. [...] »
Wall Street Journal – 16/09/2011 – Dark and light brilliance – Judy Fayard
« [...] Canadian mezzo-soprano Allyson McHardy is an earnest Annio well-paired with Franco-Algerian soprano Amel Brahim-Djelloul, who is just as enchanting and beautifully-sung a Servilia here as she was at the Aix Festival in July. [...] »
La ClEMENZA DI TITO
Diapasonmag – 28/07/2011 – Emmanuel Dupuy
« [...] Exemplaire Annius d'Anna Stephany – à suivre –, la palme du chant mozartien revenant à Amel Brahim-Djelloul dont la Servilia invoque, excusez du peu, les mânes d'une Lucia Popp. [...] »
New York Times – 19/07/2011 – Natalie Dessay, becoming Violetta – George Loomis
« [...] Amel Brahim-Djelloul and Anna Stephany made a lovely pair as Annio and Servilia [...] »
Wall Street Journal – 15/07/2011 – An Ingeniously Staged 'Nose'- Judy Fayard
« [...] lovely young Algerian soprano Amel Brahim-Djelloul gracefully stepped in at the last minute as the sweet Servilia [...] »
La Tribune de Genève – 15/07/2011 – Sylvie Bonier
« [...] des voix qui font honneur à la partition, malgré deux remplacements: le Titus un peu tendu à la première de Gregory Kunde et la juvénile et ravissante Amel Brahim-Djelloul en Servilla [...] »
El Watan – 12/07/2011 – Elle Chante Mozart – Walid Merabek
« [...] Sans compter que la chanteuse d'origine algérienne, Amel Brahim-Djelloul, chante l'un des rôles vedettes, celui de Servilia, qu'elle interprète avec son timbre de voix unique. L'an dernier, on l'avait applaudie à quelques kilomètres de là, à Orange dans Mireille du compositeur français Gounod. La soprano, dont le nom brille désormais au fronton de tous les opéras du monde, a débuté son apprentissage musical par l'étude du violon et elle avait commencé le chant en 1995 à Alger. Elle s'adonne aussi à un remarquable travail sur la musique andalouse. Joli parcours et une belle réussite à saluer ! »
Les Echos – 11/07/2011 – Le Triomphe de Sextus – Philippe Venturini
« [...] Le couple Annius et Servilia, ami et soeur respectifs de Sextus, bénéficient des voix fraîches et souples d'Anna Stephany et Amel Brahim-Djelloul [...] »
The Telegraph – 11/07/2011 – Hugo Shirley
« [...] There was strong support, too, from Anna Stephany (Annio) and Amel Brahim-Djelloul (Servilia) and Darren Jeffery (Publio). »
Forum Opéra – 10/07/2011 – Titus règne mais c'est Sesto qui triomphe – Claude Jottrand
« [...] L'autre défection, moins grave, est celle de Simona Mihai, qui devait chanter Servilia. Elle est remplacée par Amel Brahim Djelloul, jeune soprano née à Alger et formée en France qui tenait déjà le rôle ici même en 2005, petite voix tendre, avec beaucoup de fraîcheur [...] »
Le Monde – 09/07/2011 – L'Ecriture de Mozart se déploie à Aix-en-Provence – Marie-Aude Roux
« [...] la Servilia d'Amel Brahim-Djelloul paraît, comme toujours, la grâce incarnée [...] »
Te Deum (Lully et Charpentier)
« [...] On peut néanmoins souligner le touchant te ergo quaesumus (dans le Te Deum de Charpentier) délivré par Amel Brahim-Djelloul, accompagnée par le continuo et les flûtes. »
DVD Mireille
« [...] Le plateau réuni sur la scène du Palais Garnier a manifestement été choisi avec soin, et ce jusque dans les plus petits rôles [...] À cet égard, saluons tout particulièrement la prestation d'Amel-Brahim Djelloul, Clémence à la diction sans faille et au timbre de roses [...] »
Qobuz - 30/11/2010 – Tu connais pas Mireille ? - Philippe Thanh
« [...] Anne-Catherine Gillet est une Vincenette de haut vol et Amel Brahim-Djelloul une délicieuse Clémence. [...] »
Suor Angelica
Concerto.net - 14/10/2010 - Didier van Moere
« [...]Les rôles secondaires sont bien caractérisés, comme dans Soeur Angélique - à commencer par la lumineuse Soeur Geneviève d'Amel Brahim-Djelloul.[...] »
Altamusica.com - 12/10/2010 - Nicole Duault
« [...]la jeune Amel Brahim-Djelloul affirme une suavité vocale d'une belle tendresse[...] »
Resmusica - 10/10/2010 – Fête des voix pour un trois en un – Maxime Kaprelian
« [...] Tamar Iveri domine la scène en Suor Angelica, bien entourée par un plateau homogène duquel se détachent Luciana D'Intino, impressionnante Zia Principessa, Amel Brahim-Djelloul et Louise Callinan. [...] »
OEDIPE - ENESCO
Concert Classic - 15/10/2008 - Jean-Charles Hoffelé
« [...]Amel Brahim-Djelloul donnait aux quelques mots d'Antigone toute la compassion filliale et rouvait le ton juste dans la délicate scène du rapt interrompue par l'arrivée de Thésée[...] »
Musicweb-International.com - 14/10/2008 - José M. Irurzun
« [...]Good impressions were made by Amel Brahim-Djelloul as Antigone[...] »
Requiem de Fauré
« [...] La plus belle soirée de l'été ? Ce fut pour moi le «Requiem» de Fauré, dans la cathédrale Notre-Dame d'Orange qui célébrait ses huit cents ans. Avec deux solistes remarquables, Thomas Dolié (baryton) et Amel Brahim-Djelloul (soprano), une vraie découverte. Quand elle chante le «Pie Jesu», on a envie de monter tout de suite au Paradis en sa compagnie.».
L'Humanité - 29/07/2008 - Deux Requiem transcendés à Orange - Philippe Gut
« [...] et les deux solistes dont les voix étaient en totale adéquation avec l'oeuvre, celle, cristalline et juvénile, de la jolie soprano Amel Brahim-Djelloul, et celle, vaillante et vigoureuse, de Thomas Dolié. Les mélomanes présents dans la cathédrale comble étaient au paradis...».
La Provence - 27/07/2008 - À Orange, Fauré a bouleversé - Francis Pabst
« [...] Le Pie Jesu sublime un Amel Brahim-Djelloul habitée, voix chaude et vibrato parfait. [...]».
Falstaff
« [...] Quelle joyeuse bande de commères ! [...] Amel Brahim-Djelloul se joint à elles ; sa fraîcheur et sa jeunesse sont bien celles de Nanetta. [...]».
Webthea .com - 23/06/2008 - Falstaff - Caroline Alexander
« [...] la délicieuse Amel Brahim-Djelloul, récemment découverte dans Véronique au Châtelet (voir webthea du 25 janvier 2008) compose une Nanette idéale [...]».
ResMusica.com - 23/06/2008 - Une complète réussite ! - Nicolas Pierchon
« [...] Amel Brahim-Djelloul est une délicieuse Nanetta [...]».
Concertonet.com - 19/06/2008 - Tous les ingrédients sont réunis ! - Philippe Herlin
« [...] et, une révélation que l'on suit depuis plusieurs années, Amel Brahim-Djelloul, formidable Nanetta. [...]».
ConcertClassic.com - 19/06/2008 - Falstaff au TCE - L'esprit en moins - Jean-Charles Hoffelé
« [...] Lumineuse, touchante, délicate Nannetta d'Amel Brahim-Djelloul. [...]».
Concert Dutilleux
« [...] On notera par ailleurs que ce n'est pas l'habituelle version pour orchestre et voix d'enfants qui a été choisie, mais celle recourant à une soprano (Amel Brahim-Djelloul, émouvante). [...]».
l'Elisir d'amore
« [...] Très attendue après sa Véronique au Châtelet, Amel Brahim-Djelloul confirme qu'elle a tous les atouts dans son jeu pour faire une belle carrière dans le répertoire de soprano lyrique léger : qualité du timbre, homogénéité de l'émission, facilité dans l'aigu, aisance dans les vocalises ... auxquelles s'ajoute une présence scénique particulièrement séduisante. [...]».
La Revue marseillaise du Théâtre - avril mai 2008 - Sergio Alexandre
« [...] la soprano algérienne Amel Brahim-Djelloul trouve en Adina un rôle sur mesure... Aussi à l'aise vocalement que scéniquement, elle est sans conteste la meilleure intreprète du rôle, entendue sur les trois scènes hexagonales présentant cette production. Elle confère au personnage une voix d'une grande fraîcheur aux aigus faciles d'une grande justesse... On la retrouvera cet été pendant les chorégies d'Orange dans le requiem de Fauré [...]».
ResMusica - 20/03/2008 - A consommer sans modération - Geneviève Allène-Dewulf
« [...] Amel Brahim-Djelloul, qui n'a que cinq ans de scène - mais qui tenait récemment le rôle-titre de « Véronique » mise en scène par Fanny Ardant au Châtelet -, incarne joliment la juvénile fraîcheur d'Adina ; ses projets, sur scène (lyrique ou récital) et en enregistrement, méritent d'être suivis attentivement. [...]».
Dauphiné Vaucluse - 11/03/2008 - Sophie Bauret
« [...]Adina - Amel Brahim-Djelloul est tout simplement ravissante, pétillante, une jolie voix pleine de promesses et d'une rare fraîcheur [...]».
La Provence - 11/03/2008 - Claude Taelman
« [...]Amel Brahim-Djelloul révèle les multiples facettes d'une voix mélodieuse [...]».
L'Hebdo- Le Comtadin - 7/3/2008 - Ph. Gut
« [...]on découvrira la belle soprano Amel Brahim-Djelloul dans le rôle délicat et alerte d'Adina. On l'avait entendue et apprèciée naguère dans un superbe CD intitulé "Les 1001 Nuits " (chez AmeSon) où, accompagnée finement par Anne le Bozec, elle chantait à ravir des mélodies rares de Szymanowski, Santoliquido, Aubert et Delage. Ce sera incontestablement un plaisir de l'accueillir sur la scène de l'Opéra d'Avignon. [...]».
Véronique
« [...] Amel Brahim-Djelloul est aussi légère, vive et présente en Hélène qu'en Véronique, et chante avec un naturel où effleure un je-ne-sais-quoi de nostalgie. [...]».
Le Monde de la Musique - Mars 2008 - Rétro c'est trop - François Lafon
« [...] la troupe retrouve le peps des grands aînés : [...] l'adorable Amel Brahim-Djelloul en Véronique, la jeune fille riche qui joue les petites ouvrières.[...]».
Les Echos - 28/01/2008 - Une fraîcher délicieuse - Michel Parouty
« [...] Amel Brahim-Djelloul est un vrai bonheur, vive et pétillante, actrice délicieuse aux faux airs d'Audrey Hepburn, chanteuse exquise qui illumine la plus élégante des musiques. [...]».
Webthea.com - 25/01/2008 - Sous le charme douillet de la légèreté - Caroline Alexander
« [...] Véronique [...] a la frimousse, la dégaine, l'abattage et la fine musicalité [...] d'Amel Brahim-Djelloul [...]».
Le Monde - 23/01/2008 - Demi-succès pour Fanny Ardant - Renaud Machard
« [...] Amel Brahim-Djelloul, jeune soprano algérienne, au français parfait, est [...] délicieuse [...]».
Le Figaro - 23/01/2008 - Festif et Léger - Christian Merlin
« [...] Amel Brahim-Djelloul est idéale dans le rôle-titre, toute de charme, de naturel et de musicalité. [...]».
Resmusica.com - 22/01/2008 - Poussez, poussez l'escarpolette - Maxime Kaprielian
« [...] Amel Brahim-Djelloul domine la distribution en étant une Véronique/Hélène Morange piquante et enlevée. Le style est sur, la voix claire, les aigus insolents. Et un abattage scénique indubitable.[...]».
Lire l'intégralité de l'article : http://www.resmusica.com/aff_articles.php3?num_art=4883
Concertonet.com - 22/01/2008 - Ardant(e) Véronique ) - Simon Corley
« [...] Amel Brahim-Djelloul triomphe en Véronique, que ce soit par son style – ne confondant pas opéra-comique avec opérette – ou par son timbre, mais aussi par la simplicité, la finesse et même parfois la gouaille qu'elle apporte à son personnage.[...]».
Lire l'intégralité de l'article : http://www.concertonet.com/scripts/review.php?ID_review=4393
Forumopera.com - 21/01/2008 - Véronique - François LESUEUR
« [...] Amel Brahim-Djelloul possède un joli brin de voix et confère au rôle-titre la grâce et la légèreté d'une ballerine. [...]».
Lire l'intégralité de l'article : http://www.forumopera.com/concerts/veronique_chatelet080121.html
Altamusica.com - 14/01/2008 - Amel Brahim-Djelloul, l'espièglerie de Véronique - Nicole DUAULT
Un entretien réalisé par Nicole Duault pour Altamusica peut être consulter à l'adresse suivante : http://www.altamusica.com/entretiens/document.php?action=MoreDocument&DossierRef=3268&DocRef=3645
Opéra Magazine - Janvier 2008 - Amel Brahim-Djelloul - Katia Choquer
Un article consacré à Amel Brahim-Djelloul vient de paraître sur Opéra Magazine.
Pour le lire dans son intégralité, vous pouvez cliquer ici
« Shakespeare en Musique »
« [...] La jeune soprano Amel Brahim-Djelloul [...] confirme tous les espoirs que nous placions en elle : la voix est superbe sur tout le registre, le timbre doux et enchanteur, l'émission bien contrôlée, le souffle ample [...]. Après avoir gravi plusieurs marches d'un début de carrière prometteur (Le Jardin des voix de William Christie, Susanna à Lausanne, Yniold à Paris), elle sera sous les feux de la rampe en janvier prochain au Théâtre du Châtelet dans le rôle-titre de Véronique de Messager. Un spectacle à ne pas manquer ! [...]».
http://www.concertonet.com/scripts/review.php?ID_review=4214
Forumopera.com - 16/10/2007 - Concert « Shakespeare en Musique » - Juliette Buch
« [...] Depuis son étonnant Valletto du Couronnement de Poppée au TCE, [AmelBrahim-Djelloul] a fait bien du chemin et la voix s'est étoffée, comme l'avait montré tout récemment son formidable Yniold dans le même théâtre. Le timbre est fruité, et son style raffiné, sa musicalité précise rappellent qu'elle a beaucoup - et bien - chanté le baroque. [...] Elle nous offrira une charmante Nanetta, une très jolie valse de la Juliette de Gounod, et une belle scène finale. Dans une salle de dimensions plus réduites, comme Favart, ou à l'acoustique mieux adaptée, comme Garnier, gageons que sa prestation aurait eu plus de relief. [...]».
http://www.forumopera.com/concerts/shakespeare_pleyel_161007.html
Pelléas et Mélisande
« [...] Seule bonne surprise, le petit Yniold de la soprano Amel Brahim-Djelloul, juste et convaincante dans ce rôle délicat et ce spectacle qui l'est moins.[...]»
Le Figaro - 16/06/2007 - "Fascination de l'Orchestre" - Christian Merlin
« [...] la justesse dramatique d'Amel Brahim-Djelloul (complète) un tableau de choix. [...]»
webthea.com - 21/06/2007 - "Debussy en magnificence musicale et abécédaire superflu" - Caroline Alexander
« [...] émouvante prestation de la jeune Amel Brahim Djelloul qui réussit à faire du petit Yniold une créature vif argent.[...]»
resmusica.com - 17/06/2007 - "On a brisé la glace avec des fers rougis" - Maxime Kaprielian
« [...] Avec Marie-Nicole Lemieux, Amel Brahim-Djelloul et Yuri Kissin, nous sommes en présence d'une distribution luxueuse des seconds rôles, témoins actifs de cette soirée d'exception. [...]»
concertonet.com - 14/06/2007 - "Entre symbolisme et réalisme" - Simon Corley
« [...] Avec respectivement Marie-Nicole Lemieux et Amel Brahim-Djelloul, les rôles de Geneviève et d'Yniold bénéficient d'une distribution luxueuse. [...]»
Le Nozze di Figaro
« A Lausanne, on devrait parler de "Nozze di Susanna" tant Amel Brahim-Djelloul porte la production. Elle est pétulante, intelligente, vocalement de plus en plus accomplie, et désormais pourvue d'un médium qui rend moelleux à ravir son "Deh, vieni non tardar". L'actrice, déjà fort intéressante cet hiver à Nantes et à Angers, a encore mûri un emploi taillé à sa mesure. [...]»
Le Courrier - 25/04/2007 - "Noces" élégantes et subversives - Marie Alix Pleines
« Piquante Susanna (lumineuse Amel Brahim-Djelloul), insolent Figaro (généreux Riccardo Novaro) [...] : les nouvelles Nozze di Figaro lausannoises rayonnent [...]»
Le Temps - 24/04/2007 - Des "Noces" virevoletantes - Julian Sykes
« [...] La Palme revient au couple de valets, en particulier Amel Brahim-Djelloul dont le timbre lumineux, fluide et fruité traduit la ruse et l'opiniâtrité de Suzanne.[...]»
24 Heures - 24/04/2007 - Figaro convole avec l'excellence - Bernard Hatler
« [...] Cette coproduction de Lausanne et du Capitole de Toulouse des Noces de Figaro était assurément très attendue puisque l'ouvrage de Da Ponte/Mozart n'avait plus été donné depuis la saison 1995-1996. [...] Sur le plan musical, la distribution appelle tous les suffrages. La voix fraîche et ronde d'Amel Brahim Djelloul en fait une Suzanne idéale [...] l'Orchestre de chambre de Lausanne [...] livre une lecture très acérée mais nuancée de la partition sous la conduite de Juanjo Mena. Tout simplement brillant!»
ResMusica.com - 02/05/2007 - Lausanne condamné à l'excellence - Jacques Schmitt
« [...] La charmante Amel Brahim-Djelloul (Susanna) campe une servante d'une fraîcheur extrême. Constamment en mouvement, elle s'empare de la scène avec aisance et intelligence. En parfaite musicienne, elle harmonise ses gestes aux rythmes de la musique de Mozart qu'elle chante sans difficulté apparente, assimilant parfaitement l'esprit de la lettre et de la note du Maître de Salzbourg. [...]»
anaclase.com - 20/04/2007 - "Le Nozze di Figaro" - Isabelle Stibbe
« [...] Amel Brahim-Djelloul compose une Susanna jolie, piquante et grâcieuse. Sa voix fraîche et claire convient parfaitement à ce rôle de soubrette mutine, et l'on comprend qu'elle fasse tourner la tête du Comte Almaviva [...]»
CD Les Milles et une Nuits
« [...]La Saint-Valentin est passée, mais il n'est jamais trop tard pour offrir ce disque à la femme (ou à l'homme) de sa vie. Les poèmes de ces mélodies, d'origine hindoue, persane ou arabe, parlent d'amour de la façon la plus mystiquement sensuelle qu'on puisse rêver et les compositeurs ont déployé leurs harmonies les plus enveloppantes, leurs inflexions mélodiques les plus charmeuses : c'est languide, ardent et rêveur tour à tour. Tout comme l'amour est aveugle, il faut faire aveuglément confiance aux deux artistes qui ont conçu ce programme.
Anne Le Bozec [...] est l'une de ces partenaires idéales, complice active, qui permettent à un chanteur de donner le meilleur.
Amel Brahim-Djelloul, à l'aube d'une carrière prometteuse, possède une voix ronde, égale et souple ; sa prononciation irréprochable marque le degré de son investissement. Ainsi, elles ne se contentent pas de défendre leur programme, elles l'imposent.
Des quatre compositeurs, Karol Szymanowski (1882-1937) est le plus familier ; les mélismes de ces Chants du Muezzin amoureux (en traduction allemande) fixent immédiatement un climat de passion et de volupté. Généralement ignoré des dictionnaires, Francesco Santoliquido (1883-1971), Italien exilé en Tunisie, n'est pas un épigone de Puccini, même s'il en a la générosité et la plénitude : ses tre poesie persiane, sur des aphorismes fascinants, sont la justesse même. Quoique Louis Aubert (1877-1968) ait trop longtemps survécu à sa gloire, l'auteur subtil de La Forêt bleue ne mérite pas l'oubli ; en témoigne l'architecture magistrale de son cycle de Six poèmes arabes, déjà enregistrés en 2002 par Françoise Masset et qu'on peut redécouvrir ici sous un jour différent. Les Quatre poèmes hindous sont ce qu'on connait le mieux de Maurice Delage (1879-1961) ; réduits ici au seul accompagnement de piano,ils conservent néanmoins cette quasi-perfection qui distingue l'unique disciple de Ravel [...]»
Télérama – 31/03/2007 – N°2985 - Critique - Les milles et une nuits (Note : ffff /4) - Gilles Macassar
« Il y a deux ans, au Théâtre des Champs-Elysées, son numéro de rappeur – valet de comédie travesti en « caillera » des quartiers sensibles – avait valu à Amel Brahim-Djelloul, dans une mise en scène provocante du Couronnement de Poppée de Monteverdi, un savoureux succès. Ayant repris sa casquette de cantatrice tout ce qu'il y a de plus classique, vissé sa visière à l'endroit sans rien concéder de sa singularité ni de ses racines, la jeune soprano algéroise enregistre aujourd'hui des mélodies peu connues du siècle dernier, qui retentissent de l'appel de l'Orient et de sa nostalgie. Des Quatre Poèmes hindous de Maurice Delage (conçus à l'origine pour voix, quatuor à cordes, quintette à vents et piano) aux Trois Poèmes persans de Francisco Santoliquido (un Italien qui s'expatria en Tunisie pour fuir le fascisme mussolinien), des Six Poèmes arabes de Louis Aubert (celui qui, enfant, chanta le Pie Jesu du Requiem de Fauré à sa création) aux Lieder du muezzin amoureux de Karol Szymanowski (le Polonais qui, entre Frédéric Chopin et Krzysztof Penderecki, assura la continuité du génie musical de sa patrie), le tour d'horizon est large, le panorama varié. Entrelaçant arabesques vocales et mosaïques d'accords, les deux cycles français prouvent que ni les Chansons de Bilitis de Debussy, ni les Chansons madécasses de Ravel ne détiennent le monopole de l'érotisme musical. En ce début de XXe siècle, héritière des fantasmagories symbolistes, la mélodie française exalte souverainement l'abandon des rêveries volup tueuses, la satisfaction lasse du désir. Le recueil de poèmes dont s'inspire Louis Aubert s'intitule Le Jardin des caresses – la définition même de l'art d'Amel Brahim-Djelloul et de sa pianiste. Quant au label Ameson (sans « h » ni « ç » !), on lui pardonne son mauvais jeu de mots pour savoir ferrer de si bonnes prises. »
Récitals
«Je m'en souviendrai». C'est la petite phrase prononcée avec une grande émotion par la soprano Amel Brahim-Djelloul face au public du TRO qui découvre, un peu grâce à elle, le plaisir du chant d'opéra et qui l'a fortement ovationnée à l'issue du récital qu'elle venait de donner le soir du vendredi 2 mars.
Auparavant, elle a eu tout le loisir de séduire un public qui a rempli la salle de l'ancien opéra d'Oran baptisé Abdelkader Alloula et à laquelle elle a redonné vie. « Je suis très heureuse de revenir en Algérie, c'est la première fois de ma vie que je viens à Oran et je suis très heureuse », dira-t-elle juste après son apparition sur la scène moulée dans une robe rouge.
Elle déclare aussi ê̂tre très contente de faire le voyage avec des personnes qui ont beaucoup compté dans sa formation musicale en pensant à Malcolm Walker (baryton), son partenaire pour les duos et à Catherine Daiprés, pianiste, avec lesquels a été monté ce récital varié intitulé Découverte. Elle commence sa prestation avec l'interprétation du personnage Laura (Alma grande e nobile core) d'après Mozart, le célèbre musicien pour lequel a été́ consacrée toute la première partie du spectacle. « C'est le rô̂le d'un personnage, femme prétentieuse », explique-t-elle au public, d'abord curieux puis séduit par la capacité de la jeune femme à s'habiller d'un costume culturel qui n'est pas forcément le sien à l'origine. Mais la musique ne se reconnaît pas de frontières et Malcolm Walker, qui s'est dit très heureux de découvrir l'Algérie et Oran pour la première fois, a simplement annoncé sous les applaudissements : « Nous avons l'honneur de travailler avec Amel. C'est un cadeau. » C'est d'ailleurs lui-mê̂me qui informera le public que la soprano algérienne va incarner le rô̂le titre de Véronique de A. Messager au théâ̂tre du Châ̂telet à Paris. Il interprétera en solo Io Ti Lascio, toujours selon Mozart, en tentant d'expliquer ou de traduire le thème du passage qu'il devait incarner : « Je te quitte, retrouve ta liberté, en dehors de moi tu seras heureuse... ». « Ce n'est pas très gai », avoue-t-il. Le premier duo concerne un passage des Noces de Figaro avec les personnages de Suzanne et le Comte Les thèmes de l'amour à l'ancienne, ses joies et ses peines, se succéderont avec Despina, la jeune servante au courant des choses de la vie, de Pamina et Papageno l'oiseleur, d'après La flû̂te enchantée.
[...] La seconde partie a été entamée par des pièces de F. Salvador-Daniel qui a vécu en Algérie, un pays qui l'a, selon Amel, fortement inspiré. Elle s'est dite particulièrement sensible à la mélodie de Zohra (chanté en duo) et elle s'en émeut à chaque fois qu'elle l'interprète un peu partout dans le monde.
[...] La troisième partie du spectacle est consacrée au mythique Broadway. Alors que la soprano demande au public de rê̂ver avec elle dans Dream with me (Peter Pan) de L. Bernstein, Walker rê̂ve d'une soirée enchantée avec Some Enchanted evening (South pacific) de R. Rodgers. La clô̂ture en apothéose est un extrait de West side story, Tonight tonight. Ils chantent ensemble The world is full of light / The world is falling right.
Cosi fan tutte
« [...] Amel Brahim-Djelloul est une délicieuse Despina qui mène son petit monde à merveille. Sa voix malicieuse, celle d'un soprano léger de grand caractère, se prête de bonne grâce à ses différents travestissements [...] »
Le Nozze di Figaro
« [...]La distribution vocale est homogène, Amel Brahim-Djelloul offrant la composition la plus réussie. Avec sa silhouette gracile et loin des soubrettes guidées par le seul bon sens terrien, elle campe la figure d'une noble Suzanne, femme de tête et de coeur; au diapason, son timbre clair s'accompagne d'une élégante palette de couleurs, d'articulations et d'intentions[...] »
ResMusica.com – 12/12/2006 – Des Noces au microscope – Vincent Deloge
« [...]Amel Brahim-Djelloul[...] nous séduit[...] avec une voix à la fois fraîche et corsée, ainsi qu'une présence juvénile et espiègle. Elle partage de plus une approche technique et stylistique irréprochable avec le Figaro de David Bizic[...] »
L'Incoronazione di Poppea
« [...] Amel Brahim-Djelloul, quant à elle, séduit d'emblée : Amour joli comme un cœur sous l'apparence de Charlot, à peine modifiée pour devenir Valletto, elle ravit par le charme d'un timbre très pur, la musicalité de l'accent, et la désinvolture scénique.[...] »
La Tribune de Genève – 11/09/2006 – Sexe, sang et folie sur la scène du BFM – Sylvie Bonier
« Avec l'Amour délicieux [...] d'Amel Brahim-Djelloul, la distribution est à la fête.[...] »
24 heures – 12/09/2006 – Les folies pourpres de Rome – Matthieu Chenal
« [...] Voici Amour, virevoltant et roulant des prunelles : Amel Brahim-Djelloul lui prê̂te son énergie et ses vocalises agiles.[...] »
ResMusica.com – 15/09/2006 – Sex and the City chez Néron – Jacques Schmitt
« [...] à l'opposé, formidable actrice, doublée d'une aisance vocale étonnante, la soprano Amel Brahim-Djelloul (Valet) inonde le plateau d'une fraîcheur irradiante. [...] »
L'Incoronazione di Poppea
« [...] On donnera un fameux coup de chapeau [...] au Valletto rapeur d'Amel Brahim-Djelloul.[...] »
4ème Symphonie de Mahler et Airs de W.A. Mozart
«[...] Une vision pleine de tendresse et de lumière, renforcée par la participation rayonnante de la ravissante soprano algérienne Amel Brahim-Djelloul, découverte il y a deux ans dans le Couronnement de Poppée. [...]émouvante[...]elle nous donnait, avec le sublime air des maronniers à l'acte IV des Noces de Figaro, un avant-goût qui nous rend déjà impatient de la voir et de l'entendre en scène dans l'intégralité du rôle de Suzanne où elle devrait faire des merveilles. Puis, elle sut faire de sa voix chaude, sensuelle et délicate un instrument de plus de l'orchestre dans le lied final de la symphonie de Mahler, abordé sans la moindre affectation. Ne méprisez pas les associations symphoniques, elle sont hors du star system, mais on y fait de la musique !»
La ClEMENZA DI TITO
« [...]Amel Brahim Djelloul est délicieuse en Servilia[...] »
Forumopera.com – 14/07/2005 – La Clémence de Titus – Claude Jottrand
« [...]Amel Brahim Djelloul, jeune soprano née à Alger et formée en France, chante Servilia avec une petite voix tendre et beaucoup de fraîcheur.[...] »
La Libre Belgique – 14/07/2005 – Les pièges de la « Clémence » – Martine D. Margeay
« [...]Bonne surprise [...] du côté des chanteurs [...] : mentionnons la soprano algérienne Amel Brahim-Djelloul (Servilia), issue de l'académie d'Aix et du Jardin des Voix [...] »
L'incoronazione di Poppea
ConcertoNet.com – 13/10/2004 – Le couronnement musical de Monteverdi – Manon Ardouin
« [...] Amel Brahim-Djelloul fait grande sensation dans ses débuts parisiens et elle obtient une ovation plus que méritée. Cette toute jeune chanteuse se fait de plus en plus remarqué dans le monde baroque et sa tournée en tant que chanteuse du Jardin des voix avec William Christie devrait contribuer à mieux la découvrir. Elle possède un instrument solide, une voix bien placée et timbrée agréablement et surtout elle sait s'investir dans un rôle, voire dans deux puisqu'ici elle interprète le personnage horripilant de Valletto et celui beaucoup plus charmant de l'Amour (sorte de double noir de l'Amour de Semele.[...] »
Chanteurs.net - 17/10/2004 – Ecoute de Spectacles : L'incoronazione du Poppea – Alain Zürcher
[...]Amel Brahim-Djelloul, déjà remarquée lors du prix de chant du Conservatoire en 2003, est aussi superbe vocalement en Amore que séduisante scéniquement en Valletto[...]
Leguide.be - 18/10/2004 - Poppée : fric, sexe et violence - Serge Martin
[...]Valletto (Amel Brahim-Djelloul insolent à souhait) un arrogant gamin des rues[...]
Les Chemins qui montent
Avec son disque "Les Chemins qui montent", la chanteuse lyrique algérienne rend un vibrant hommage à la culture kabyle. Sa voix cristalline de soprano et sa délicate interprétation font jaillir l'émotion d'un répertoire poétique constitué de reprises (Idir, Djamel Allam.….) et de chansons originales.
Ouest France - 03/12/22 - Lelian
" L'élévation est bien le maître-mot de ce voyage à travers les âges et la culture berbère : l'artiste possède la puissance lyrique pour transcender poèmes et prières, romances et déchirures de plumes du passé, d'aujourd'hui et de demain. Et la met surtout au service de modulations épousant la langue kabyle râpeuse et suave, mélancolique et festive. "
APS - 06/11/22
" Dans son nouvel album, "Les Chemins qui montent", Amel Brahim-Djelloul, la cantatrice à la voix suave, rend hommage à la chanson algérienne d’expression amazighe, à travers un ensemble de reprises qui ont bercé son enfance, ainsi que de nouvelles pièces harmonieusement portées par la voix de la soprano. "
Olyrix - 25/10/22 - Moisés Ordonez Alarcon
" Elle ouvre le spectacle depuis les coulisses et dans le noir avec une voix claire, douce, étincelante. Les couleurs et les sonorités évoquent immédiatement ce bassin culturel, l'agilité ornant son chant avec fraîcheur tout en transmettant efficacement la joie et la sérénité de ces morceaux. "
Die Zauberflöte
« [...]une délicieuse Amel Brahim-Djelloul dans un rôle qui met admirablement en valeur son timbre fruité[...] »
Croisette, Opérettes des Années folles
Forum Opera - 13/10/22 - Yvan Beuvard
"Amel Brahim-Djelloul se taille la part du lion, avec les couplets du délicieux Passionnément (d’André Messager), le duo de Ciboulette (Reynaldo Hahn) et nombre d’ensembles, où la ductilité et la fraîcheur de sa voix font merveille"
Récital « Jeunes Talents »
« Nous l'avions découverte en Pamina [...] en 2002, ce récital de mélodie en apporte encore la confirmation éclatante. Amel Brahim-Djelloul est une remarquable soprano, une voix d'exception.[...] Sa voix très pure, légère, d'une subtile richesse de timbre, jamais mise à mal par les notes haut perchées, à l'aise dans toutes les nuances et d'un parfait placement se révèle idéale dans le répertoire français. On rêve de l'entendre en Mélisande ou dans le Dialogue des Carmélites... [...] »
The Convert
Opéra Magazine - 06/06/2022 - Christian Wasselin
"Au premier acte, la très belle berceuse "Once Upon a Time", chantée par la radieuse soprano franco-algérienne Amel Brahim-Djelloul(...)"
Festival Baroque en Avignon
Ôlyrix - 07/02/2023 - Moisés Ordóñez Alarcón
La soprano franco-algérienne Amel Brahim-Djelloul incarne Lucrèce lors des deux cantates, par un caractère dramatique, une voix ronde et claire, très agile lors des vocalises. Son chant est nuancé, enrichi par des accents et des élans qui ajoutent à la puissance d'une interprétation poignante.
Première Loge - 06/02/2023 - Irma Foletti
Amel Brahim-Djelloul amène de petites variations bienvenues dans les reprises de ses rares airs da capo. Son abattage est également sans failles dans le long air « Il suol che preme, l’aura che spira… »), rapide et particulièrement fleuri, tout comme au cours d’un petit passage qui suit où l’on croit entendre « Venti, turbini, prestate » du futur Rinaldo. Mais l’interprète montre aussi ses qualités de musicalité, longueur de souffle, maîtrise de la ligne pour les passages élégiaques
Die Zauberflöte
« [...]Vocalement aussi, on est frappé par le bon niveau général dans lequel on distinguera une Pamina au timbre fruité, à la voix ductile et précise, à la prononciation parfaite (Amel Brahim-Djelloul)[...] »
Idomeneo
Forum Opéra.com - 06/02/2022 - Yvan Beuvard
« Ce premier des récitatifs – où alternent le secco et l’accompagnato – et des airs, magistralement chantés par Amel Brahim-Djelloul, promet une belle soirée, ce qui sera le cas. »
Olyrix - 14/03/2022 - Emmanuel Deroeux
« Après une ouverture aux phrasés dramatiques à propos, contrastés sans exagération et agréablement élancés, grâce à la direction très engagée de David Stern, l’auditeur est immédiatement charmé par la voix et l’interprétation de la soprano Amel Brahim-Djelloul qui personnifie la très attachante Ilia. Son timbre tranchant et brillant, particulièrement dans les aigus, est projeté avec soin par un vibrato maîtrisé selon le propos, tout en participant au soutien de la ligne. Le sens de ses paroles est alors tout à fait limpide, magnifié par son investissement émotionnel. »
Les Chemins qui montent
La Tribune - 07/2023 - Bernard Foray-Roux
Elle proposait ce soir, une promenade à travers la musique kabyle traditionnelle et actuelle entourée de ses admirables musiciens virtuoses. Les musiques du guitariste Thomas Keck (présent sur scène), les poèmes de Rezki Rabia, les chansons d’Idir, des sœurs Djurdjura, de Taos Amrouche et de Djamel Allam servis par la voix admirable et envoûtante de la cantatrice faisaient vibrer le cœur de la forêt à l’unisson de ceux des spectateurs qui finirent debouts au rythme entrainant du « Mara Dioural » de Djamel Allam. Avec humour, et pour entériner (si besoin était?) la validité de sa démarche musicale Amel Brahim-Djelloul glissait quelques délicats passages de Mozart, qui trouvaient parfaitement leurs places, et même une étonnante « Marche Turque » plus orientale que jamais.
Le Monde diplomatique - 04/2023 - Jean-Louis Mingalon
Amel Brahim Djelloul est une chanteuse lyrique reconnue dans le monde entier (...) Dans un album surprenant de beauté , elle réussit le tour de force de mettre, avec retenue, sa voix de soprano au service de la chanson kabyle, qu'elle soit simple ou plus travaillée, d'hier (Taos Amrouche, Djamel Allam, Idir, Djura) ou d'aujourd'hui (le poète Rezki Rabia). Une grande rencontre, portée également par les arrangements de Thomas Keck, qui alternent instruments de tradition occidentale et orientale.
ResMusica - 04/02/2023 - Jean-Luc Clairet
Amel Brahim-Djelloul, éblouie par la lumière européenne, n’a pas oublié celle de l’Algérie de son enfance. Son soprano toujours gracieux et bien conduit revient agrémenté de quelques mélismes propres à la musique orientale, sans affectation (un unique crescendo de diva en fin de parcours sur le Mara d-yugal de Djamel Allam) à un répertoire né de la lumière algérienne, des paysages-mêmes de cette Kabylie éternelle, dont les montagnes plongent dans la mer immense
FranceInfo Culture - 29/01/2023 - Mohamed Berkani
DjurDjura, c’est l’ode à la féminité et à la figure de la mère. Avec sa voix mélodieuse, haute, Amel Brahim-Djelloul nous transporte avec une émouvante berceuse.
Festival Arabesque
Courrier de l'Atlas - 07/09/2021 - Yassir Guelzim
« A l’instar de son compatriote, Tarik Benouarka, qui met en valeur le chant lyrique et l’opéra, Amel Brahim-Djelloul fait honneur à ce genre musical. Elle n’est pas Oum Khelthoum ou Warda. Son style est unique. Elle fait partie de celles qu’il faut classer parmi les plus belles voix lyriques de la rive sud de la Méditerranée. »
La Croisette, Opérettes des Années folles
Crescendo Magazine - 23/11/2022 - Carlo Schreiber
Amel Brahim-Djelloul a une voix magique et touchante dans Passionnément d'André Messager. Elle est délicieuse dans Ciboulette en duo avec le magnifique baryton Guillaume Andrieux.